Laurence Hoflack

Ingénieur au sein du service des marchés des Télécommunications et Médias
Portrait Laurence Hoflack

Pourquoi avez-vous choisi de travailler dans l’administration fédérale ?

Pour moi, travailler pour l'administration signifie avant tout : travailler pour le bien-être commun. J'aime donc me qualifier de fonctionnaire, car cela correspond à mes idéaux. Par ailleurs, le contenu de ma fonction actuelle m'a beaucoup plu à l'époque, et j'ai eu raison : le secteur des télécommunications est un secteur en constante évolution, mon travail est donc varié et toujours stimulant. Le choix a donc été vite fait.

Quel est le meilleur aspect du travail dans l’administration fédérale ?

À l'IBPT, je travaille dans le service de régulation du secteur des télécommunications. Je trouve qu'il est très intéressant de travailler dans le secteur des télécommunications, car il y a toujours de nouvelles évolutions et de nouveaux défis. En outre, l'IBPT est en contact avec différents groupes cibles : consommateurs, opérateurs, autres régulateurs européens, groupes d'intérêt, cabinet, etc. : cela donne lieu à différents types de dossiers et à des questions toujours différentes et nouvelles à traiter.

En comparaison avec mes précédents jobs, je remarque également le haut niveau de collaboration : nous travaillons toujours en équipe (avec des formations différentes, à savoir des économistes, des juristes et des ingénieurs) sur nos dossiers. Il en résulte une grande complicité entre les collègues, que je trouve très agréable. En prime, le contexte bilingue a grandement amélioré ma connaissance du français.

Vous travaillez en tant qu'ingénieur au sein du service des marchés des télécommunications. Que faites-vous concrètement et quel est l’aspect le plus agréable de votre travail ?

Le seul aspect négatif de mon travail est qu'il est difficile de le décrire en quelques mots ! En tant que régulateur, l'IBPT surveille le marché des télécommunications, et lorsque des problèmes de marché apparaissent, nous essayons d'y remédier en imposant certaines règles aux opérateurs en position dominante. Ces analyses de marché et la détermination de ces règles requièrent une expertise dans différents domaines : non seulement juridique et économique, mais aussi technique, et c'est là qu'interviennent les ingénieurs. La partie la plus agréable du travail est précisément le fait que le travail couvre tant de facettes, ce qui signifie que vous n'êtes pas seulement concerné par l'aspect technique des choses, mais que vous devez également être bien informé de certains aspects économiques et du contexte réglementaire (souvent européen). C'est un travail difficile mais certainement satisfaisant une fois que l'on s'est familiarisé avec la matière.

Que diriez-vous aux personnes qui hésitent à travailler dans l’administration fédérale ?

Je pense qu'il y a beaucoup d'idées préconçues sur les fonctionnaires qui sont ennuyeux, mais cela ne correspond pas du tout à la façon dont les choses se passent à l'IBPT. Non seulement notre équipe est composée en grande partie de "jeunes talents", mais tout le monde est également très motivé et, enfin,il y a beaucoup de solidarité. Le contenu du travail est varié et toujours stimulant. Si vous n'avez aucun problème avec le travail écrit (car il y a beaucoup de rédaction dans notre entreprise), je n'hésiterais certainement pas.

 

Nous travaillons toujours en équipe sur nos dossiers. Il en résulte une grande complicité entre les collègues, que je trouve très agréable.

Découvrez cet employeur