Grégory

Business analyst
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En quoi consiste votre job ?

Le job de business analyst a pour but de maintenir à jour et développer les applications et procédures informatisées de l’ONEM. Il s’agit de récolter un maximum d’informations auprès des utilisateurs finaux des applications, auprès des collègues, auprès d’autres services internes mais aussi externes pour développer nos applications. Les adaptations à effectuer peuvent être dues à un changement règlementaire, ou également à une demande des utilisateurs finaux.

Mon travail consiste donc à traduire ces besoins sous forme d’une analyse business, en tenant compte de la règlementation et de la limite du système informatique. Une fois l’analyse rédigée, elle est envoyée à notre service ICT pour programmation. Ayant rédigé l’analyse des besoins, il m’est aussi demandé de tester les adaptations dans un environnement de validation. Ces contrôles permettent de limiter les erreurs avant de mettre les adaptations en production. 

Enfin, je rédige également des manuels utilisateurs pour les utilisateurs finaux et je donne des démonstrations sur l’application à l’équipe d’accompagnement, qui continue ensuite à travailler avec les utilisateurs afin que ceux-ci maîtrisent l'application.   

Quel est l’aspect le plus chouette de votre fonction ?

Comme je l’ai expliqué, c’est une fonction assez variée… Récolter des infos, analyser les besoins, traduire ces besoins, tester les adaptations et rédiger des procédures. Tout me plaît mais j’adore particulièrement être parmi les premiers à être informé des changements à effectuer sur les applications. J’aime aussi constater que ce que j’ai demandé est réalisé avec succès et surtout utilisé par les utilisateurs finaux.

Pourquoi avoir choisi d’exercer la fonction de business analyst  au sein de l’administration fédérale ?

Je travaille comme business analyste dans la fonction publique depuis 2010. Auparavant j’exerçais une fonction similaire dans le privé mais suite à la crise économique de 2009, je recherchais une sécurité d’emploi.
Ayant été engagé comme contractuel dans un premier temps, j’ai ensuite pu découvrir les différentes possibilités d’évolution qui s’ouvraient à moi. Je suis d’abord devenu statutaire, puis j’ai continué à me développer, à progresser dans l’exercice de ma fonction. A ce jour, avec un bon équilibre vie professionnelle et vie privée, je ne me vois plus travailler en dehors de l’administration fédérale. 

Quel aspect négatif de votre travail avez-vous noté ?

L'avancée de mon travail dépend parfois du travail d’autres personnes, ce qui peut être source de stress. Il faut donc être organisé, bien fixer les priorités, être clair sur les délais à respecter par chacun. Un autre aspect est mon temps de trajet entre mon domicile et l’administration centrale à Bruxelles qui est conséquent. Néanmoins, avec les possibilités de télétravail et l’horaire flexible, cela me permet de pouvoir m’organiser. Je me montre moi-même flexible en fonction des nécessités de service. Retrouver mes collègues à Bruxelles est toujours un plaisir, le trajet est donc vite oublié ! 

J’aime que mes analyses soient réalisées avec succès et utilisées par les utilisateurs finaux

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